Lundi 27 juillet 2009 à 8:45

Et si le titre est donné en anglais c'est parce que de là où je suis c'est bien comme ça qu'on les connaît !

Alors voilà donc mon premier visionnage (volontaire) de film en anglais... Eh bien je m'en suis pas trop mal sortie, j'ai réussit à me marrer assez souvent en fait. Alors bien sur, je ne peux pas faire une critique pointilleuse sur les dialogues, pour la bonne raison que je n'en ai pas saisie toutes les facettes !

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Par contre je peux dire que les personnages sont sous un nouveau jour, surtout Many, qui se la joue papa poule. Et puis Diego en mode remise en question mais finalement pas tant que ça et Scratt qui va changer de point de vue ! Bon, il reste évidemment Sid, égale à lui même, monsieur je fais des conneries mais je ne m'en rend pas compte !! Mais en même temps sans lui, il n'y aurait pas d'histoire !

Alors nous voilà donc, à cause de l'animal cité précedemment embarqué en plein coeur du monde des (méchants) dinausaures. C'est là que surgit un nouveau personnage vraiment cool, LA bonne surprise de cet épisode à mon gout. Je vous laisse découvrir par vous même !!

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En résumé, un troisième volet toujours drôle, une aventure sympa, une petite évolution dans les personalités des personnages, et puis pleins de Denver quoi ! Funny !

Et finalement petit bémol aux doublage en VO... JE préfère de loin les voix française, avec Vincent Cassel en tête bien sur !!

Lundi 27 juillet 2009 à 8:20

L'étincelle dans son regard est intacte, mais elle a comme un faux contact dans le sourire.


Son nez magnifiquement bient dessiné est si minuscule que je me demande comment elle peut respirer avec – à mon avis, il est juste là pour décorer.


Tu connaîtras le manque, puis les affres de la jalousie, de l'incompréhension, la sensation de rejet et d'injustice. Tu auras froid jusque dans tes os, et ton sang fera des glaçons que tu sentiras passer sous ta peau. La mécanique de ton coeur explosera.

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J'ai du pop corn dans le coeur.

 

Les gens n'aiment pas les choses trop différentes de ce qu'ils sont. Même s'ils en apprécient le spectacle, c'est un plaisir de voyeur. Pour eux, aller voir la femme à deux têtes revient au même qu'assister à un accident. J'ai vu beaucoup d'homme l'applaudir mais aucun en tomber amoureux.

 

 

Cette nuit, je vais grimper à la lune, m'installer dans le croissant comme dans un hamac et je n'aurai absolument pas besoin de dormir pour rêver.

 

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Je n'aurais jamais cru que ce soit si compliqué de garder à ses côtés la personne que l'on aime de toutes ses forces. Elle me donne sans compter, jamais de mesquineries. Je donne aussi, pourtant elle reçoit moins. Peut-être parce que je donne mal.

 

 

Je vais vomir de la braise, je la sens remonter l'oeusophage, inonder mon cerveau. Court-circuit sous un crâne.

 

Je commence à être fatigué de mourir tout le temps.

Jeudi 2 juillet 2009 à 22:34

Le dernier Woody Allen, pas le choix, faut s'y coller !! Après un explosif détour à Barcelone, nous voici de retour dans la Grosse Pomme ("cliché ! ", pour tous ceux qui verront le film !), avec un détonnant personnage principal, tout en monologues et divagations diverses et variées très woodyalleniesque !

Du plaisir pour les oreilles donc, vous l'aurez compris, et pour les yeux aussi, car créer des images d'une beauté saisissante ou remarquable, ce bon vieux Woody sait nous emporter dans son univers sans qu'on ait envie d'en sortir. Alors c'est partit pour la découverte de ce petit monde ou tout n'est qu'amour (différence d'âge, de sexe, de goût, qu'importe pourvu que ça marche !) et il faut bien le dire : décadence !!
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Et c'est ainsi qu'un jeune ingénue (c'est peu de le dire, tant ses répliques feraient passer Britney pour une intellectuelle) se retrouve à faire revivre un vieux misanthrope avec sa vision bien à lui du monde (les enfants sont débiles et leurs parents ne valent pas mieux), quand soudain arrive sa mère, vieille bimbo sur le retour (et quel retour !) puis son père, croyant comme pas deux mais finalement pas tant que ça. Et au milieu coule... eh non, pas une rivière, mais les apostrophes à nous, cher public ravi d'entendre ces élucubrations totalement irréalistes mais pourtant étrangement sympathiques.

On sourit, ou rit, on aime ou on aime pas mais attention si y'a pas d'action : " c'est normal, c'est Woody Allen..." !!

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Avis aux amateurs, mais en V.O. svp, parce que le doublage français ... aaahhh  !! Difficile de supporter les gémissements et les récitations de textes...

Par contre je n'irais pas jusqu'à dire que je suis réconciliée avec Evan Rachel Wood,mais c'est un petit pas de fait !!


Mercredi 1er juillet 2009 à 15:02

AAAAAAAAAAAAhhhh, j'ai raté le début du film, j'ai horreur de ça !!! Ne jamais arriver 5 minutes en retard dans un petit cinéma de quartier... il fallait le savoir !!!
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Je ne pourrais donc pas juger les premières minutes du film, mais coyez-moi toutes celles qui suivent sont des petits morceaux de bonheur...

D'abord il y a les acteurs, tous géniaux, tous vous dis-je ! Bill Nighy en tête, grand seigneur comme à son habitude. Philip Seymour Hoffman en mode gros barbu... et tous ces animateurs de radio indépendante qui ont changé le monde à leur façon.

J'ai un peu eu l'impression d'être sur ce bateau moi aussi, au milieu de tous ces hommes et ces vinyles... ce qui ne m'aurait vraiment pas déplut !!

Chaque scène est un régal, tant d'un point de vue des dialogues que des images, un peu vieillies. On se marre vraiment des répliques de chacun, et finalement, la vraie histoire n'est pas celle qu'on croit, le scénario n'est là que pour maintenir le navire, qui s'en sort déjà très bien tout seul, avec les chansons et les interludes radiophoniques. Et finalement les 2h passent aussi vite que si on avait raté la moitié du film. 

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A voir uniquement si vous voulez passer un très bon moment de cinéma, rigoler, apprécier de bons dialogues (en V.O. of course), des acteurs avec des vrais gueules (quand je pense que le grand Gavin c'est le Spike de "Nothing Hill"...) et bien sur, une BO de rêve, qui ne va pas tarder à faire partie de ma play list.



Mercredi 1er juillet 2009 à 14:46

N'étant pas une grande fan des comédies à la française on peut se demander pourquoi ce film m'attirait quand même, effectivement je ne sais pas trop pourquoi mais il fallait que je vois ce film.

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Eh bien mesdames et messieurs, oui, il y en a des choses à redire, oui, tous les acteurs ne sont pas bons (Mais qu'est ce que c'est que le jeu d'Audrey Dana ... en tout cas pendant la première partie du film ???) , le scénario recelle d'invraisemblances (ne devient pas Juif qui veut... je pense !)  et les seconds rôles sont un peu fait à la va vite (Joséphine de Meaux dans le même rôle que toujours, Omar Sy à l'écran environ 12 minutes...) mais l'ensemble est vraiment appréciable.

Il y a une histoire de famille là dessous, des relations qui évoluent, des enfants insuportables (qu'ils soit hyper actifs ou surdoués) et on rigole. Vincent Elbaz fait le spectacle et il le fait bien, comme son fils de fiction.


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En résumé on passe un bon moment, et la fin, juste émouvante comme il faut ne gâche rien. A revoir entre potes, ou en famille, ne serait-ce  que pour la première et la dernière scène, ou pour toutes celles entre Omar et Joséphine, barées à souhait !!


Par contre gros bémol aux noms des enfants, mais enfin,  même en 1993 (année d'action du film) on n'appelle pas ses enfants Lucien et Prosper...

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